Chapitre 1
Alors que naquit les premières lumières de l'aurore, Forsance allonger dans son lit, toujours groggy par le sommeil, ouvrit les yeux. Après quelques étirement, il se leva de son lit et commença sa routine quotidienne. En premier, il fit son lit, puis il mangea des fruits qu'il avait cueillit la veille dans la forêt local, ensuite il fit quelques exercice physique et des étirement assouplissant pour se réveiller, et enfin, il sortit dehors dans son jardin pour méditer en silence, tout en admirant passivement les beautés de la forêt toute proche.
Forsance était un jeune adulte de 25 ans. Il était légèrement plus petit que la moyenne, avec des cheveux bouclé, des yeux bleus perçant, une silhouette svelte et un corps athlétique. Forsance avait surement tout pour paire a la gente féminine même si lui même l'ignorait.
Forsance aimait se baigner dans les rayons du soleil matinal. Être là en totale harmonie avec la nature lui procurait un bonheur immense. Et cette sensation lorsque le cerveau se relâche et qu'il n'est plus nécessaire de se torturé l'esprit pour des problèmes triviaux, lui donnant la certitude qu'il allait passer la meilleur journée possible.
Forsance avait comprit l'importance de la méditation il y a quelques années de cela. Déjà a cette époque, il souhaitait atteindre la richesse et être au moins aussi abondant que les plus riches des nobles. Il s'était donc dit " Je dois me comporter comme un noble si je veux être aussi puisant qu'eux.". Et vu que dans l'esprit de Forsance, les nobles étaient tous extrêmement paresseux, avare, gourmands, narcissique et un peut trop sûre d'eux même. Forsance en a donc conclu que pour achever son ambition, il devait devenir paresseux d'où sa pratique de la méditation quotidienne.
Pourtant, après des années d'expérience, sa situation financière ne s'était pas améliorer, elle s'était même dégradé. Forsance n'a pourtant pas abandonner sa pratique journalière, ne serait-ce que pour le plaisir que cela lui procurer, mais aussi parce qu'il avait l'espoir qu'un jour sa vie changerais pour le meilleur si il continuer. Peut être que la bonne opportunité n'était tout simplement pas encore arriver et que son unique devoir était d'être aussi prêt que possible pour son arrivé. En tout cas, c'était ce que l'intuition de Forsance lui chuchoter à l'oreille.
Forsance vivait là isolé du reste du monde. Il entretenait des relation qu'avec quelques uns de ces voisins. Et les habitants du village de Taunelr pour la plupart se tenait à l'écart de Forsance autant que Forsance se tenait à l'écart d'eux. Beaucoup, l'appelaient l'idiot du village tant son caractère anti-sociale, ces activité bizarre et ça oisiveté était étrange aux yeux des villageois. Il y avait tant a faire dans le village surtout en cette saison de moisson. Et pourtant, Forsance sortait de chez lui que pour faire des achats et pour faire ces randonnés forestière.
C'est d'ailleurs grâce à ces randonnés forestières que Forsance était capable de dégagé des revenus et donc de vivre seule. La plupart des villageois était beaucoup trop concentré dans les vicissitudes de leurs vies que l'écrasante majorités d'entre eux quitte le village seulement pour un impératif et pour se rendre dans un autre village proche. Comme Forsance, l'herboriste local, monsieur Quartin, arpentait fréquemment les sentiers sinueux selvatiques, dans le cadre de son activité. Voyant que Forsance lui aussi passait beaucoup de son temps en pleine aire, il lui proposa de devenir son apprenti, ce que Forsance accepta. Après tout, gagnez de l'argent pour faire des randonnés, où l'on récolte des herbes médicinales, quoi de mieux pour Forsance. Avant pour s'assurait un revenu, il faisait un travail beaucoup plus physique.
Une fois, sa routine accompli comme tous les jours, Forsance sortit de chez lui pour la hutte de l'herboriste, où monsieur Quartin lui avait préparé une liste des ingrédients a récupéré. Mais en chemin, il tomba nez-à-nez avec Lautrant son voisin qui visiblement l'attendait. Lautrant faisait près d'une tête de plus que Forsance. Il avait aussi une carrure beaucoup plus impressionnante que Forsance. Probablement que le travail a la forge de son père l'avait grandement aidé à bâtir son armure de muscle. A ce moment là, Lautrant avait un sourire narquois plaqué sur son visage, tandis qu'il dévisagé Forsance.
"Mhm, tu passe encore ton temps à collectionné des fleurs pour ce stupide vieux crouton, tu es vraiment un perdant Forsance."
Forsance ne répondit pas et continua sa route comme si Lautrant n'existait pas.
"Forsance, demain je partirais de ce petit village car demain, j'ai rendez-vous avec mon destin et nous nous reverrons sans doute plus jamais."
"Oh, c'est très bien ça." Lui répondit Forsance un sourire moqueur aux lèvres tout en s'arrêtant.
"Je dis la vérité, puisque demain sera le jour de la conscription pour notre village. Il est même dit que la meilleure des recrus sera récompenser par le sous grade de sergent immédiatement. Tu peut déjà m'appeler sergent Lautrant. Dit-il d'un aire suffisant et mimant sa futur autorité.
"C'est déjà demain que ce truc a lieu." lui répondit Forsance pensif.
"Ha ha ha, tu ne trompe personne à faire l'idiot Forsance. Je t'ai vu ces dernière semaines, tu t'entrainais a donné des coups de poings. Tu veux évidemment devenir un soldat comme tous le monde, et par dessus le marché, ça fait depuis hier que le maire a commencer la construction de la plateforme pour le tournois. C'est pas possible que tu ne sois pas au courant."
"Bah, laisse tomber de toute façon discuté avec toi est complétement inutile." Repris Lautrant. "Je suis surtout venu te dire que t'as pas intérêt a venir te joindre à la compétition ou je te brise les jambes." Disait Lautrant tout en se faisant craqué les doigts.
"Comme je te l'ai déjà dis, je n'ai aucune intention de devenir un soldat. Je préfère rester un mendiant plutôt que de devenir un esclave." Lâcha Forsance tout en reprenant sa route. Forsance avait depuis le début aucune envie d'entretenir cette conversation.
"Forsance comment ose tu m'insulté ainsi." Et Lautrant bondit sur Forsance avec les poings serrer et rouge de colère. Mais avant qu'il ne puisse posé la main sur Forsance, une voix à bout de souffle l'interrompit dans son élan.
"Monsieur Lautrant........"
Lautrant se retourna et regarda le nouveau venu et lui dit:
"Phillipe dit a mon père qu'aujourd'hui, je ne l'aiderais pas à la forge. Je dois avoir mon jour de repos, si je veux être en parfaite condition pour le tournoi de demain." dit il d'un aire lâs, mais avec une voix assez énergétique pour sembler vouloir être charismatique.
"Monsieur Lautrant, ce n'est pas votre père qui m'envoi ... " Phillipe repris son souffle à nouveau avant de continuer. "C'est cette ravissante danseuse que vous m'avez demander d'épier, et bien elle a disparu."
"Comment ça disparut." l'interrompit Lautrant clairement choqué par la nouvelle.
"Oui, disparut comme je vous l'ais dit. Elle n'était pas présente pour la répétition ce matin. J'ai donc mené mon enquête, j'ai interroger tous ceux susceptible de l'avoir aperçu. Au final, seuls les bucherons, l'on vues rentré dans la grande forêt est, mais elle n'en ai toujours pas ressortit. J'ai peur qu'il soit déjà trop tard, après tout elle n'est pas d'ici et cette forêt est réputé pour avoir une meute de loup en son cœur, la pauvre enfant a dû déjà être déchiqueté." Lui répondit un navré Phillipe.
"Et c'est maintenant que tu me le dit ?!"
"Mais je ne voulais pas vous dérangeais." Lui répondit Phillipe tout en lançant un regard furtif en direction de Forsance.
"Il n'y a pas une minute à perdre, aide moi a demander de l'aide aux chasseurs, nous allons organiser une battus, tout de suite." S'élançant déjà tel un chevalier.
"Attendez!" S'exclama Forsance. "Il y en a surement plus dans cette histoire, elle est rentré dans la forêt d'elle même, personne ne l'y a contraint."
"Ta gueule Forsance, tu ne comprend pas ma future femme est en danger, c'est pas un pleutre comme toi qui va me faire la leçon." "Viens Phillipe tirons nous d'ici." Lâcha très sèchement Lautrant déjà loin de Forsance.
" A chaque fois, que je le vois, Je veux le cogner, c'est plus fort que moi. Comment ça se fait qu'il a le don de m'énervé a ce point." Dit Lautrant les dents serré de colère.
"Il a beaucoup de chance que Margot soit en danger, je lui en aurais déjà mis une, je le jure."
Predict the future by creating it
You didn’t come this far to stop