Chapitre 2
Au même moment, une voiture tiré par deux vieux chevaux rentrait dans la périphérie du village de Taunelr. La voiture en question avait une apparence des plus banal pour la bourgeoisie Elyséenne. Le coché qui la conduisait été un homme âgé usé par le travail et les secousses de sa voiture avait profondément endommagé son corps. Pourtant l'intérieur du carrosse n'avait rien d'ordinaire. D'abord, l'intérieur rouge pourpre était orné de diverse dorure toutes plus sophistiqué et luxueuses, les unes que les autres. Mais la décoration la plus mémorable resté quant même l'armorie sculpté au plafond et invisible de l'extérieur.
Une des plus belle femme que comptait Elysieum, était assise dans cette voiture. Elle semblait avoir environ la trentaine, peut être moins et était vêtu d'une robe rouge, ça main gauche était posé sur le pommeau d'un sabre courbé, tandis que ça main droite tenait un verre remplis de vin. Un spectateur soucieux des détails aurais remarqué qu'aucune onde n'était présente à la surface du vin malgré les vibrations émises par la voiture. Alors qu'elle regardait au loin par la fenêtre les habitations rustique des paysans, on pouvait lire sur ces yeux bleu une forme indéniable de supériorité.
Elle tourna la tête lentement et regarda l'un après l'autre les deux hommes vêtus comme des gueux assis en fasse d'elle.
" J'espère que vous êtes conscient que nous n'avons pas le droit a l'erreur, . . . , surtout vous deux" Rajouta t-elle. Elle repris une petite gorgé de vin et repris. "Ce moment là, est le meilleure moment pour agir, ma divination est infaillible, si il y a le moindre problème, vous en serez les seules responsables." Elle regarda aux loin l'horizon et repris. "L'asticot doit être sortis de sa pomme, il y a très peux de temps, et vous avez mmh .... 4 heures au plus avant qu'il revienne."
"N'ayez crainte jeune maitresse, nous ferrons de notre mieux pour préservais au mieux le tableau." dit il tout en regardant le tableau couvert d'un linge qu'il tenais entre les mains.
Seulement quelques instant après avoir prononcé ces mots le coché les avertis qu'ils était bien arrivé devant la maison de Forsance. Les deux hommes sortirent de la voiture, dont un portais le tableau sur son dos. Et ils rentrèrent tous deux chez Forsance, comme si de rien était.
A ce moment là, Forsance était toujours en route vers la cabane de l'herboriste. Une multitude de penser se bousculait dans son esprit. "Pourquoi les gens me détestent ils ?" "J'ai horreur de ce monde!" "A quoi bon se lever de son lit, et faire les même choses tous les jours sans voire aucune différence." "Je haïe les gens." "Comment font ils pour avoir autant confiance en eux." " Je pourrais peut être retourné chez moi, juste pour vérifier qu'il n'y a pas de voleur."
Forsance s'arrêta net. "Pourquoi est ce que je viens de penser ça." Un frisson parcouru son corps. Plus il y pensait et plus son mauvais pressentiment augmentait. Que faire, devait il continuer sa route ou retourner chez lui pour s'assurais que tout aller bien. Indécision ... . Bien que ça raison lui disait de continuer, son intuition, elle lui disait autrement.
Au final, Il choisit de continuer son chemin, vers la cabane du vieux Quartin. Sa raison était simple, même si la pire des circonstances arrivait, que pouvait il y faire. Il était simplement plus sage de ce trouver à l'écart des problèmes.
Forsance se hâta quelque peu et une fois qu'il atteignit la cabane de l'herboriste, il ouvrit la porte et vit que monsieur Quartin, s'était préparer à entreprendre un long voyage. Cela perturba quelque peu Forsance car ce n'était pas à cette heure là que l'herboriste avait coutume de collectée des plantes pour ces remèdes. Il lui demanda donc :
"Monsieur Quartin, se pourrait il que vous avez eu vent que la jeune Margot était en danger et que maintenant vous vous apprêtez de lui porté secours."
"Mais de quoi tu me parle là jeunot, tu crois qu'a mon âge on peut juste partir à l'aventure comme ça et sauver une jeune demoiselle en détresse et sans répercussion. Hélas, je suis bien trop vieux pour toutes ces bêtises. Non, en faite, j'ai simplement une réunion importante, c'est pour ça que je dois quitter le village." Expliqua-t-il.
"Comment ça vous partez ?" réagit Forsance.
"Allons, Allons, ne faite pas cette tête, ce n'est qu'un en revoir, je reviendrais bientôt." Promit monsieur Quartin.
"Mais vous allez où ?" Demanda activement Forsance.
"Euh... Dans une sorte de réunion pour herboriste. Dans le sud de l'Elysée. C'est assez loin d'ici, à pied je vais bien mettre plusieurs semaines, au moins." Lui répondit le maître herboriste.
"Ha! ça doit être une de ces réunion de la confédération des herboristes dont vous m'avez déjà parler?"
"Oui, Oui, c'est ça!" Se pressa de répondre l'herboriste.
"Mais dans ce cas pourquoi se dépêché de faire vos valise, à ce point. Vous pourriez partir demains ou après demain. Les recruteurs auront surement besoin de vous et il est certain que vous allez avoir beaucoup de client en restant ici deux jour de plus." On pouvait apercevoir une pointe de soupçon dans les yeux de Forsance.
"Ha, Ha, Ha, d'accord, d'accord, en réalité Forsance, je suis déjà vraiment pressé. Si, j'ai décider de resté jusqu'a aujourd'hui, c'était pour m'assurer que tu sois capacité de subvenir a tes propres besoins. C'est pour cela que je t'ai montrer mes recettes et mes méthode de concoction la semaine dernière. Mais, maintenant, je n'ai plus le temps de rester et je dois plié bagage."
"Viens, rentre, avant de partir, je tient a t'offrir quelque chose." Reprit-il. En rentrant Forsance découvrit que la cabane paraissait plus vide qu'à l'accoutumé et la valise du veille homme était déjà prête. Peut être l'avait il attendu avant de partir.
Monsieur Quartin alla à sa bibliothèque et en sortit un vieux manuscrit. On pouvait y lire sur la première de couverture simplement " Recette Alchimiques". "Je te le donne." lui dit Quartin. "Tu y trouvera des informations utiles. Et tiens prend aussi mon grand panier, et mes outils, de toute façon je n'ai pas assez de place pour les prendre avec moi."
Forsance ne disait rien, pour lui ce n'était pas vraiment des cadeaux mais plutôt une manière pour lui de continuer son travail en son absence.
"Lorsque je serais partit, tu n'aura pas à t'occupé de l'état de ma cabane. Parfois, il faut savoir lâcher prise sur les vieilles choses qui nous encombres pour pouvoir accueillir les nouvelles.
"Est ce que cela signifie que vous ne reviendrez plus jamais ici?" demanda à haute voix Forsance.
"Oui, après cette réunion, je ne retournerais plu dans ce village." Répliqua l'herboriste. "Mais je suis sûre qu'un jour nous nous reverrons. En attendant je sais que tu fera de ton mieux pour survivre." Continua t-il tout en fixant du regard le vieux livre que Forsance tenait entre ces mains.
"Cela étant dit il est tant pour moi de partir."
Forsance et Quartin sortir et l'herboriste ferma la porte à clef et prit la route menant au centre du village, de là il allait surement emprunter la voix menant vers le sud.
Forsance resta là quelques instant, puis mis le livre dans son nouveau panier qu'il portait sur son dos. Il partit ensuite lui même pour la forêt est. Même sans travail, il voyait mal comment passer son temps autrement qu'au milieu de la nature et tenté de de venir plus fort.
Tout en marchant, Forsance repensait aux paroles du vieil homme, "laisser derrière l'ancien pour accueillir le nouveau" et il se demandait jusqu'a quel point ces paroles était vrai.
Au même instant, Lautrant se trouvait revêtu de son armure et armé jusqu'au dents, dans la périphérie du bois ouest. Il était accompagné d'un de ces amis, Gentin, le fils d'un des chasseurs du village. Gentin était bien d'un peu bedonnant de ci et de là, un des favoris du tournois de demain pour l'ensemble des villageois, car il était un des jeunes hommes les plus vigoureux du coins.
"C'est très étrange." S'alarma Gentin. "D'ici nous aurions dû percevoir les aboiements des loups et pourtant.
Gentin était un chasseur expérimenté lui même, et ça remarque ne fit qu'accroitre la nervosité de Lautrant. Toute sortes de probabilités se bousculé dans son esprit. Quand soudainnement le bruit d'une branche se cassant par quelqu'un retentit au loin.
"Gentin! Là à 10H, Il y a quelque chose prépare ton arc!" murmura Lautrant tout en faisant face.