Chapitre 3
Les bruits de pas continuaient à s'avancer, puis on pouvait entendre au loin une voix féminine: "Il y a quelqu'un ?" "J'ai cru entendre quelque chose ?"
Dés que Lautrant entendit cette voix, il accourut dans sa direction, après quelques foulés, Il vit une margot apeurés mais indemne.
Margot était une très jolie jeune femme. Son visage possédait des traits élégants et féminin, ainsi que d'un petit nez aquilin. Ces longs cheveux noirs ébène lui retombait jusqu'aux épaule. Et sa figure avait les muscles et la grâce d'une danseuse professionnel. En somme, elle était un rêve devenu réalité pour un villageois comme Lautrant.
La voyant Lautrant ne put résistait à se jeté sur elle, visiblement soulager. Gentin suivait Lautrant mais gardait quand même ces distances. Il était pour ainsi dire moins proche de Margot et moins tactile que son ami.
Margot était manifestement déjà accoutumé a ce genre de comportement et ne protestait pas. Mais leurs demanda quand même se qu'ils faisaient ici à cette heure là. Ne devaient ils pas se préparaient pour leurs tournois?
"Ha! Hélas! Lorsque j'ai su que tu était en danger, je me suis précipité à ton secours! Pour moi, tu es beaucoup plus importante que ce petit tournoi de rien du tout voyons!" Déclara passionnément en la fixant des yeux de très prés.
"Ma! Tu es si romantique Lautrant. Oui c'est vrai, je me suis accidentellement quelque peut égaré dans cette forêt. Heureusement qu'un galant homme comme toi est venu m'indiqué le chemin vers le village." Dit-elle la main sur le cœur.
"Je suis là maintenant, tu n'as plus rien à craindre! Je vais t'escorté en lieu sûre!" Prononça Lautrant de manière triomphante et tout en se séparant de Margot.
Mais pendant que tout ceci se déroulai, Gentin n'était pas resté les bras croisés. Au contraire, il scrutait les environs à l'affut d'un quelconque danger, l'arc toujours bandé, pendant que les deux tourtereaux continuaient a batifoler gaiment. Et c'est là qu'il vit un loup mort, à seulement quelques dizaines de mètres de lui. Gentin interrompit Lautrant qui s'apprêter a écarté Margot et lui indiqua le loup. Le loup était allongé là, sur le coté, absolument aucune blessure était apparente. En faite, le loup semblait juste faire la sieste et rien n'indiquait qu'il était mort, mis appart qu'il ne respirait plus et que des insectes pouvait aller et venir sans crainte sur son corps.
"Margot, as tu vu se qu'il s'est passé?" demanda un Lautrant intrigué.
"Non, mon chérie, il était déjà comme ça lorsque je suis arrivé, mais tu sais il est loin d'être le seule, il y en a tout une meute des comme lui plus loin là-bas!" Déclara Margot plein de désinvolture en indiquant la direction dont elle venait.
Gentin et Lautrant accouru tous les deux vers l'endroit indiqué par Margot, tout en abandonnant cette dernière là où elle était. Et ils découvrirent la même scène décrite par Margot, tout une meute de loup morte sans aucune blessure, sans membre manquant ou égratignure sur tous les cadavres. La scène paraissait surréaliste d'autant plus qu'ils n'auraient pas entendu du moindre bruit de combat ou de lutte.
"ça doit être une arme contendante, je ne vois que ça!" Déclara subitement Gentin alors qu'il était accroupi devant la dépouille d'un des loups. "J'ai beau cherché, je ne vois pas où le coups à bien put être porté." Continua-t-il tout en examinant scrupuleusement le cadavre."
Lautrant s'accroupit à son tour juste à coté de son ami Gentin et commença à lui murmuré à l'oreille. "Dit Gentin, si on revient comme ça au village les mains vide et qu'on raconte que Margot c'est juste perdu dans la forêt, on aura l'aire de deux débile. De plus, le chef du village pourrait nous en vouloir d'avoir demander une battu pour si peut déjà qu'il n'y avait pas grand monde de libre aujourd'hui. Alors qu'au contraire si nous disons que nous avons sauvé la belle Margot d'une meute de loup, non seulement nous allons avoir la classe, mais en plus nous allons nous faire un paquet de blé rien que pour leurs fourrures!" Il y avait une forme d'Eureka dans les yeux du jeune Forgeron alors qu'il prononçait ces paroles avec un petit rictus.
"De plus" continua-t-il "Si tout se passe bien, nous partirons demains de ce village, donc même si la vérité éclate, nous serrons déjà loin à ce moment là." Rajouta Lautrant.
Quant à Gentin, il affichait un sourire plus qu'hébété, l'argent facile était un appât bien trop tentant pour un pauvre chasseur pour qu'il puisse refusé. Gentin acquiesça "D'accord!"
Satisfait, Lautrant retourna aux cotés de Margot et l'escorta personnellement j'jusqu'au village tandis que Gentin plantait des flèches dans les loups morts et leurs découpait des membres ainsi que de nombreuses blessures et égratignure pour faire croire qu'un combat brutal ait eu lieu ici, afin d'en récupérer le mérite.
Pendant ce temps, Forsance avait déjà atteint l'orée du bois est du village de Taunelr. Forsance ressentait que le temps et l'espace prenait des dimensions plus sacrés lorsqu'il se retrouvait au milieu des arbres, comme si le seul temps qui comptait était le moment présent et que le seul espace qui comptait là où il se trouvait actuellement. La forêt était somptueuse, les hêtres et les chênes qui la composaient était similaires à des piliers qui tenaient à bout de bras le toit de l'édifice composé de feuille couleur cuivre et or, tellement emblématique de cette saison d'automne. De même, le chemin de terre sur lequel Forsance arpenté était tapisser de feuille morte, et le chant des oiseaux bien que discret enrichissaient cette harmonie. Ce paysage était suffisamment sublime pour émerveiller Forsance à chaque fois qu'il empruntait cette voie.
Malgré toute ces distractions, Forsance pu aisément regagner une de ces cachette favorite. L'emplacement était simplement constitué d'une vieille souche qui était allongé là à même le sol et dont les insectes fourmillait sous son écosse. Autour de la souche, le vide, du moins assez de vide pour que l'on puisse se sentir a son aise, car pour une certaine raison les ronces et les buis ont juger bon de ne pas pousser à cette endroit précis mais tout autour.
Forsance s'était installer là ou plutôt allonger sur la souche et prenait son aise en retirant ces chaussures. Après une courte méditation, il choisit de sortir son nouveau livre de son panier. "L'harmonisation de l'être" Forsance lut le titre du livre à haute voix. Puis, après avoir lut le sommaire, il comprit que le livre était divisé en deux grandes parties. La première partie était, en faite, un recueille de de potion et de recette, utilisant diverse plantes rare dont Forsance avait pour la plus part jamais entendu parlé. Il y avait autant de recette gastronomique que de potion médicinal et ces recettes gastronomiques était affublé de divers déterminant des plus flatteurs. D'après le livre, consommé ces régals suffisaient à allonger son espérance de vie et à être remplis d'énergie. Quant aux potions médicinales, certaines avait même la réputation de pouvoir tout guérir. De plus, le recueil soulignait que chacune de ces potions pouvaient être un poison en cas de surdosage.
"Cela ne m'étonne pas que ce vieux livre prenait la poussière dans la bibliothèque du vieux Quentin. Toutes ces recettes sont tout bonnement inutile, si on ne possède pas les ingrédients pour les préparé." Pensa-t-il dans sa tête. Ainsi, Forsance mis dans un coin de sa tête toutes ces informations pour ce concentrer sur la deuxième partie de l'ouvrage.
Cette partit parlait exclusivement d'exercices physique a pratiquer quotidiennement pour rentrer en harmonie avec son corps, et ainsi, cesser les conflits à l'intérieur du corps, et d'augmenter la longévité de son existence. Ces exercices était organisé en étape à faire les uns après les autres. Seulement, une fois que l'on avait maitrisé le premier point, cette méthode nous autorisé a poursuivre vers le second point. Et ce premier point en l'occurrence était la respiration consciente. La Méthode du manuel d'écrivait plusieurs types de respiration consciente dont la respiration alcaline et la respiration du feu à pratiquer quotidiennement.
Forsance était à la fois radieux et ravi intérieurement de cette découverte car oui, Forsance était le genre d'homme a rarement exprimé ces émotions de quelque manière que ce soit. "Géniale, une nouvelle corde à mon arc" se disait-il. Sans plus attendre, Forsance se mit a pratiquer la respiration consciente exactement comme le texte l'instruisait de faire. Et en à peine 10 minutes de pratique, Forsance pouvait déjà sentir son visage et ces mains tremblaient de vitalité. "Ce pouvoir, cette magie, c'était donc vrai, l'oxygène rime avec énergie, ça signifie qu'en augmentant la capacité d'aire de mes poumons, je peut devenir plus fort!" "Je continuerais à pratiquer demain!" se disait Forsance.
Avant d'aller cherché des graines à manger dans la forêt, comme des marrons ou des glands, Forsance aimait s'exercé à la boxe et à l'escrime. En faite, à cause de ces traumas passé, Forsance a développé une obsession pour la survie. Pour lui une catastrophe pouvait survenir à n'importe quel moment. C'est pour cela qu'il devait être prêt à n'importe quel moment à faire face à n'importe quoi. Une fois son exercice fini qui constituait en tout une série de coup de point dans le vide et des couts de branches qui battait l'aire. Forsance remis ces affaires dans son panier et repris la route de feuille morte.
Mais assez vite, sur le chemin il entraperçu quelqu'un d'autre qu'il n'avait encore jamais rencontrer, une femme.